30 avril 2021

Astuce semis : plantez vos graines dans de la litière pour chat !

Il y a trois semaines, j'ai fait un semis de Hardenbergia violacea 'Alba'. Suivant les instructions de la boutique, j'ai tenté de planter mes graines dans de la litière pour chat minérale et non agglomérante. Néanmoins, comme ma litière premier prix achetée pour l'occasion contenait des boules bleues qui me semblaient un peu louches, j'ai préféré assurer le coup en semant aussi quelques graines dans du terreau. L'occasion de comparer un peu les deux substrats...

J'ai donc réalisé au total trois pots de trois graines chacun : deux pots avec du terreau à semis classique, et un pot avec de la litière pour chat. Et le résultat est sans appel : deux semaines après le semis, sur les six graines qui ont été placées dans du terreau, seule une a germé, alors que dans la litière, j'ai une réussite de 100%, les trois graines ayant parfaitement germé, et ce un jour plus tôt que celle qui était dans le terreau ! J'ignore pourquoi, peut-être parce que contrairement au terreau, la litière est totalement stérile... Quoi qu'il en soit, c'est impressionnant !

Pour rappel, voici la procédure exacte que j'ai suivie : remplir un pot de litière, placer les graines dessus, puis les recouvrir d'une fine couche de litière avant de mettre le pot dans un sac congélation zippé. Ensuite, on verse de l'eau avec quelques gouttes d'engrais universel dans le sac de façon à ce qu'après la saturation complète du substrat, il ne reste que quelques millimètres d'eau au fond du sac. On n'a plus qu'à refermer le sachet et à le placer à 20 °C dans un endroit lumineux, mais à l'abri des rayons directs du soleil.

Une fois que les plantules se sont suffisamment développées pour être manipulées, on peut les repiquer dans du terreau classique. Et le repiquage a encore une fois confirmé la supériorité de la litière sur le terreau : alors que la plantule du terreau avait une racine unique de deux centimètres de long, celles de la litière avaient de belles racines ramifiées d'une dizaine de centimètres ! Et d'après le site sur lequel j'ai acheté mes graines, ce semis sur litière pour chat fonctionne pour la grande majorité des plantes... Nul doute que je réitérerai l'expérience !

21 avril 2021

Philotheca (Eriostemon) myoporoides, un arbuste persistant à petites fleurs blanches parfumées

La dernière fois que je suis allée chez mon pépiniériste pour récupérer les plantes de mon nouveau massif et mon camélia 'High Fragrance', j'ai fait une jolie découverte : le Philotheca myoporoides. Comme la Hardenbergia dont je vous parlais récemment, c'est une plante d'origine australienne, relativement peu rustique (– 10 °C), qui aime les sols légers à tendance acide. Mais bonne nouvelle pour ceux dont le climat ou le sol n'est pas adapté, l'ériostème pousse aussi très bien en pot, il vous suffira de l'hiverner comme un agrume.

Philotheca myoporoides (1)

Ramifié dès la base, cet arbuste produit de jolies feuilles persistantes, allongées, qui dégagent une odeur très agréable quand on les frôle et plus encore quand on les froisse. Il formera donc toute l'année une jolie boule, que je pourrai tailler tous les ans après la floraison pour en augmenter la densité. Autant dire que quand je l'ai vu, j'ai instantanément abandonné l'idée de mettre des azalées blanches dans mon massif au profit de ce Philotheca myoporoides.

Philotheca myoporoides (3)

Ce qui a attiré mon attention, puis m'a fait craquer, c'est la floraison de cet arbuste : en effet, pendant tout l'hiver et le printemps, il est littéralement recouvert de petites étoiles blanches d'environ un centimètre, qui dégagent une odeur douce et sucrée vraiment irrésistible. Dans la pépinière, le coin des ériostèmes embaumait toute la serre !

Philotheca myoporoides (2)

Côté exposition, il préfère la mi-ombre ; chez moi, il aura du soleil du milieu de matinée jusqu'en milieu d'après-midi, j'espère que cela lui conviendra. S'il se plaît, il devrait former une boule d'un mètre cinquante de diamètre, mais d'après le pépiniériste, j'ai encore de longues années devant moi avant que ça n'arrive (j'aurai donc le temps de dégager la balançoire des filles d'ici là !). Cela le rend donc idéal pour les petits jardins.

Philotheca myoporoides (5)

Philotheca myoporoides (6)

19 avril 2021

Pose de lames de PVC adhésives sur mon ancien sol

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas posté d'article sur le bricolage, et pourtant, je m'active beaucoup à l'intérieur de la maison en ce moment ! Tout a commencé sur un coup de tête en décembre dernier. Quand j'ai acheté la maison il y a cinq ans, je savais que je referais les sols un jour, mais il y avait tellement d'autres choses plus urgentes que j'avais de gros doutes sur le moment où je concrétiserais ce projet. Jusqu'au jour où j'ai découvert l'existence des lames de PVC adhésives il y a quelques mois. Vraiment pas chères et très faciles à mettre en œuvre, c'était exactement ce qu'il me fallait !

Lames PVC adhésives Poprock gris clair et blanc rustique

Lames PVC adhésives Poprock gris clair et blanc rustique.

J'ai donc fait un test sur le carrelage de mon entrée. Pas de prise de tête pour la préparation, j'ai juste tout bien nettoyé à fond et dégraissé à la lessive Saint-Marc avant de poser mon nouveau sol. Ici, j'ai choisi des lames Poprock gris clair (qui sont en fait assez foncées) à 7,90 euros le mètre carré. L'utilisation est ultra simple : il suffit de retirer le film adhésif et de coller les lames par terre, comme des gommettes ! Et voilà le résultat (je me rends compte hélas que je n'ai qu'une seule vieille photo où l'on aperçoit mon ancien sol sous les pieds de mon mini-bulldozer) :

Entrée avantEntrée après

La seule chose un peu fastidieuse dans la pose de ce sol, ce sont les découpes, surtout quand on habite comme moi dans une vieille maison pleine de recoins, de placards et d'angles bizarroïdes. Il faut s'équiper d'un bon cutter et d'une règle en métal solide, et ne pas se tromper en prenant les mesures... Mais sur les passages faciles où aucune découpe n'est nécessaire, les lames se posent avec une rapidité déconcertante, on voit le sol évoluer à vue d'œil, c'est vraiment génial ! Il ne m'a pas fallu longtemps pour recouvrir tout le vieux parquet de mon salon (ce qui fera hurler les amateurs, mais moi je n'aime vraiment pas les vieux parquets), toujours avec les mêmes lames Poprock, mais cette fois dans le coloris bois naturel :

Salon pendant

Salon avant (2)Salon après

Salon avantSalon après (2)

J'ai également testé le coloris blanc rustique, toujours avec les mêmes lames Poprock, pour rénover ma chambre :

Chambre avantChambre après

En conclusion, si vous avez un sol propre et plan à rénover, les lames de PVC adhésive sont une solution économique et très pratique à mettre en œuvre. Je n'aurais jamais cru que je pourrais refaire tous les sols de la maison toute seule, aussi rapidement et facilement et pour un prix aussi bas !

15 avril 2021

Prunus glandulosa 'Alba Plena' : une profusion de pompons blancs

Le Prunus glandulosa 'Alba Plena' est un petit arbuste charmant, notamment au printemps et en automne. Il peut se cultiver en pot, mais il sera alors plus petit et il risque d'y avoir régulièrement des branches mortes ; du moins, c'est ce que j'ai constaté sur le mien, que j'ai laissé en pot pendant quatre ans avant de le mettre en pleine terre, où il est beaucoup plus sain et plus poussant. Dès le mois de mars, il se couvre intégralement d'une profusion de petites fleurs blanches, tellement doubles qu'elles ressemblent à des pompons.

Prunus glandulosa Alba Plena (3)

Prunus glandulosa Alba Plena (4)

Ce cerisier à fleurs arbore un port arrondi et mesure environ 1,50 m dans tous les sens à taille adulte. Il est donc idéal pour les petits jardins. Ses branches sont assez longues et lâches. On peut essayer de le rendre plus compact en le taillant immédiatement après la floraison, mais il ne faut pas être trop sévère, car il fleurit uniquement sur le bois d'un an. Et puis ce port lui donne un côté un peu échevelé que je ne trouve pas si déplaisant que ça !

Prunus glandulosa Alba Plena (7)

Ses fleurs regroupées en rangs serrés sur les branches ne sont pas parfumées, mais quand elles le recouvrent, le Prunus glandulosa devient le point de mire de tout le jardin.

Prunus glandulosa Alba Plena (8)

Mais sa floraison n'est pas son seul attrait, puisque comme de nombreux Prunus, il arbore de magnifiques couleurs automnales. Malheureusement, je n'arrive pas à remettre la main sur une photo. Tout ce que je peux vous dire, c'est que son feuillage se décline alors en un splendide camaïeu de rouge, d'orange et de jaune qui rivalise haut la main avec les nombreux érables du Japon que j'ai au jardin. En attendant octobre pour une image probante, je vous quitte sur une photo prise aujourd'hui même : un gros plan sur ses jolies fleurs en pompon !

Prunus glandulosa Alba Plena (5)

12 avril 2021

L'azalée japonaise 'White Prince', un prince vraiment charmant

Dans mon ancien jardin, j'avais planté une soixantaine d'azalées japonaises. Ne pouvant évidemment toutes les rapporter dans mon petit jardin quimpérois, il a fallu que j'effectue un choix, et il était évident d'emblée que 'White Prince' ferait partie de ma sélection. Dès la fin du mois de mars, ses nombreux boutons blancs dévoilent peu à peu une abondante floraison double au cœur moucheté de rose foncé.

Azalea White Prince (3)

Azalea White Prince (2)

Pour ne rien gâter, notre prince blanc n'est pas dénué d'un petit grain de folie : en effet, il lui arrive parfois d'exhiber une bande rose sur une fleur, voire une fleur entièrement rose au milieu des bouquets blancs, qui vient encore plus attirer l'œil sur cette plante qui est déjà loin de passer inaperçue.

Azalea White Prince (1)

Une fois adulte, 'White Prince' forme un buisson qui n'excède pas les 70 cm à 80 cm de haut et de large. Comme les autres azalées japonaises, son feuillage est persistant, ce qui lui permet de donner de la structure à mon massif même en hiver. Il pousse relativement lentement et je le taille tous les ans juste après la floraison pour lui garder un port compact et une forme en coussin.

Azalea White Prince (4)

Il s'agit d'une plante de terre de bruyère, qui apprécie donc les sols acides et plutôt légers. Elle se plante à l'ombre ou à mi-ombre, bien que dans le Finistère, on voie beaucoup d'azalées japonaises en plein soleil qui ne semblent pas malheureuses pour autant (et pourtant, en dépit des idées reçues, même ici, le soleil n'est pas si rare que ça et est capable de bien cogner !) Je l'apprécie pour la générosité de sa floraison, qui s'étale de fin mars jusqu'au mois de mai, ainsi que pour la fraîcheur et l'originalité de son coloris. Bref, l'azalée 'White Prince' a tout pour plaire !

Azalea White Prince (5)

 

09 avril 2021

Semis de Hardenbergia violacea 'Alba'

Il y a quelques semaines, je vous présentais Hardenbergia violacea, une belle grimpante australienne que j'ai installée dans mon jardin, contre le mur de ma maison exposé plein sud. Seulement voilà : parmi les raisons pour lesquelles je fantasmais sur cette plante, il y avait une photo où l'espèce type violette mêlait ses branches à un cultivar blanc.

Source: Externe

(source : Wikipedia)

Depuis, cette image ne cesse de me hanter, et puisque ce cultivar blanc est introuvable en jardinerie près de chez moi, j'ai décidé d'en semer des graines. Le semis de Hardenbergia, que j'avais déjà testé il y a quelques années, n'est pas des plus évidents, car les graines sont enveloppées d'une coque très dure. Dans la nature, ce sont les incendies et autres feux de brousse qui provoquent leur germination en ouvrant la membrane ! Celle-ci est tellement résistante qu'elle confère aux graines une durée germinative capable d'atteindre les trente ans... J'avais néanmoins réussi à en faire lever une bonne partie, mais hélas, les escargots et limaces n'en avaient fait qu'une bouchée dans les vingt-quatre heures qui avaient suivi leur installation au jardin. Heureusement, cette fois, j'ai le fameux ruban de cuivre, qui fait décidément des miracles. 

Hardenbergia violacea alba (eBay)

(Source : eBay)

Le semis de Hardenbergia violacea s'effectue en mars-avril. La veille, j'ai frotté les graines au papier de verre, puis je les ai mises à tremper vingt-quatre heures dans de l'eau presque bouillante. En gros, il faut attendre que les graines aient doublé de volume. Ensuite, j'ai suivi les instructions du site sur lequel j'ai acheté mes graines, qui conseille de semer dans de la litière pour chat (minérale, non agglomérante, soit tout le contraire de ce que j'utilise pour ma Snow). Il faut d'abord remplir un pot de litière, placer les graines dessus, puis les recouvrir d'une fine couche de litière avant de mettre le pot dans un sac congélation zippé. Ensuite, on verse de l'eau avec quelques gouttes d'engrais universel dans le sac de façon à ce qu'après la saturation complète du substrat, il ne reste que quelques millimètres d'eau au fond du sac. On n'a plus qu'à refermer le sachet et à le placer à 20 °C dans un endroit lumineux, mais à l'abri des rayons directs du soleil.

Hardenbergia violacea alba graines semis

Dans le sachet, les graines sèches. À droite, au bout de douze heures de trempage.

D'après le site, ce procédé marche pour presque toutes les graines. Celles de Hardenbergia lèvent entre une et six semaines après leur semis. Et si le semis ne marche pas et que vous avez un plant mère à portée de main (ou de blog), il reste toujours les boutures, relativement faciles à réussir quand on les fait à l'étouffée !

Hardenbergia violacea alba

(Source : eBay)

06 avril 2021

Merci les copines !

Alors même que je viens de terminer mon cycle d'achats de plantes compulsifs du printemps, je continue à recevoir des petits bijoux, et c'est grâce aux copines de blog que le plaisir perdure et se prolonge !

Pour commencer, j'ai reçu mardi dernier une jolie enveloppe de Marie du Jardin de Pantoufle ; après avoir gagné son jeu d'identification de fougère, je lui avais demandé des graines de Cardiospermum, et v'là-t-y pas que j'ai reçu pas moins de cinq petits sachets différents ! Aussitôt reçus, aussitôt semés... La Salvia amplexicaulis a même déjà commencé à lever ! Et ils ne sont que le prélude à de fastes échanges de boutures et autres marcottes, car nous avons la chance d'habiter la même région. Merci beaucoup Marie, je suis super contente et je te tiendrai au courant de l'évolution des semis !

Semis 2021

Mais ce n'était que le début, car à peine avais-je eu le temps de semer mes petites graines que je recevais un colis de Christine, du Jardin de la Champaille... Et quel colis ! En effet, en plus des anémones blanches prévues, il y avait une ancolie, des muscaris, des iphéions qui tombaient à point nommé juste après la rédaction de mon dernier article... Mais surtout, il y avait parmi les anémones une rareté : en effet, ce n'est pas une simple anémone blanche comme les autres, celle-ci est double et d'un blanc légèrement rosé. Je n'en avais jamais vu de pareille, j'ignorais même que cela existait ! N'est-elle pas merveilleuse ? Merci encore Christine, cette beauté rare et ses copines seront abondamment chouchoutées et bichonnées !

Anémone Christine

Enfin, je profite de ce billet pour remercier tous les autres blogueurs et membres de ma famille qui m'ont offert des plantes ces dernières années. Je pense à vous chaque fois que je les vois dans mon jardin ! Au-delà du plaisir d'avoir de belles plantes chez soi, ces arbustes et ces vivaces ont une valeur toute particulière à mes yeux. Ils incarnent votre gentillesse, votre sens du partage et votre générosité et sont de véritables rayons de soleil qui m'apaisent et me redonnent le sourire quand je me laisse aller à des élans de misanthrophie, me rappelant que tout le monde n'est pas pourri, sans-gêne ou égoïste et m'aidant à me concentrer sur ce qu'il y a de beau dans ce monde. Alors, un immense MERCI à vous, vous êtes vraiment géniaux !

01 avril 2021

L'Ipheion uniflorum ou ail des Incas, des étoiles printanières faciles à vivre

J'avais déjà présenté ce joli bulbe de printemps dans mon blog précédent, mais comme je ne m'en lasse pas, j'ai envie de lui consacrer à nouveau un article. L'iphéion, également surnommé ail des Incas, forme de petites touffes herbacées et se naturalise très facilement. J'en avais rapporté un pot de la variété la plus courante, 'Wisley Blue', de mon ancien jardin, et voilà qu'aujourd'hui, j'ai l'agréable surprise d'en retrouver dans des endroits improblables, par exemple en plein milieu de mon gazon.

Ipheion uniflorum - ail des Incas (1)

On peut facilement l'utiliser pour former des tapis. Pour cela, il suffit d'attendre que l'iphéion forme une jolie touffe, ou bien d'en acheter une directement en godet chez un pépiniériste. Chaque bulbe porte une seule et unique fleur, ce qui vaut à l'Ipheion uniflorum son nom latin ; ainsi, quand on voit une touffe bien fleurie, cela indique qu'il y a plein de petits bulbes sous la surface. Il suffit donc de déterrer la motte afin de séparer tous les petits bulbes. On les replante alors assez serrés les uns des autres, mais évidemment pas collés, et on recommence comme ça d'année en année.

Ipheion uniflorum - ail des Incas (3)

L'iphéion est un bulbe très facile, il suffit de le planter et de le laisser vivre sa vie. Bien rustique, il s'accommode de toutes les expositions ; je l'ai vu très florifère même à l'ombre. Mais s'il supporte des températures allant jusqu'à – 15 °C, il sait aussi résister à la chaleur et à la sécheresse. Je connais certaines plantes qui feraient bien d'en prendre de la graine ! Concernant la nature du sol, comme la plupart des bulbes, il n'aime pas l'humidité stagnante, mais il me semble bien que c'est là sa seule exigence.

Ipheion uniflorum - ail des Incas (5)

Chez moi, l'iphéion fleurit dès le début de l'hiver et jusqu'au mois d'avril (mais il faut dire qu'à Quimper, l'hiver s'apparente plus à un automne de six mois qu'à une véritable saison). Il forme des fleurs en étoile très lumineuses, qui se dressent au-dessus de la motte au bout de longues tiges graciles (spéciale dédicace aux esprits mal placés). L'Ipheion uniflorum type, tout comme mon 'Wisley Blue', a un cœur blanc et vire au bleu sur les bords, et il présente une nervure d'un bleu plus soutenu. Mais il en existe des tas d'autres couleurs : il se décline notamment en blanc ('White Star', Alberto Castillo') et en rose ('Charlotte Bishop', 'Tessa'). J'en ai eu des roses, mais j'ai été déçue par leur couleur pour le moins flashy alors que leur teinte semblait plutôt douce sur les photos. Du coup, je ne les ai pas gardés. En revanche, je suis curieuse de tester la variante violette, 'Froyle Mill'... Si j'en achète cet automne, je vous en dirai des nouvelles d'ici un an !

Ipheion uniflorum - ail des Incas (4)

Enfin, en plus d'être beau et facile, l'iphéion est également délicieux. Comme le suggère son surnom d'ail des Incas, il ressemble à de la ciboulette, sauf qu'il a une saveur d'ail plus prononcée. On en fait d'ailleurs le même usage en cuisine pour assaisonner des salades, du fromage frais à tartiner, de la crème fraîche pour y tremper des bâtonnets de légumes ou des trucs moins diététiques, mais aussi des soupes et des purées. Bref, l'iphéion a tout bon !

Ipheion uniflorum - ail des Incas (2)

Ça m'vénère... mais ça va !

Connaissez-vous la parodie de Maître Gims qu'a faite le Palmashow ? En gros, le pseudo-Gims y peste contre tout un tas de petites contra...